Dans la vie, on dit que les choses les plus importantes sont "se loger se vetir et se nourrir".
Je vois pas en quoi se vétir est une nécéssité absolue, les animaux vivent couvert de leurs poils ou leurs écailles.
Des poils j'en ai, mais apparemment la société considère que c'est pas une couverture suffisante, alors j'ai préféré passer ma vie a acheter des fringues, que de m'arranger pour que mes poils poussent plus nombreux et plus fournis.
L'avantage des habits, c'est que ça varie, et ça peut être beau parfois.
Moi et l'habillage, ça a toujours tout fait, ou rien.
Ma tête regorge d'idées en tout genre,de tenue variées colorée, allant du sari indien aux robes du moyen age.
Tout cela ressort plus du déguisement qu'autre chose. Alors comme j'ai pas tout les jours envie d'être dévisagée et classée comme une folle dévergondée, je m'habille quotidiennement un peu plus correctement, un peu plus fade, un peu moins fantaisiste.
Avec l'age, ça vire de plus en plus au déguisement.
Mais petite, j'adorais me déguiser. C'était une deuxieme vie. J'avais la chance fabuleuse d'avoir une mère et une grand mère qui savaient coudre et s'en donnaient a coeur joie de me confectionner des robes.
Je récupérais sans vergogne plein de leurs vieux habits.
J'étais milles et une personne a la fois. Un bout de tissu et un maillot de bain suffisait a me transformer en femme-papillon.
Et je m'étonne encore aujourd'hui de flasher sur une robe a caractère du début du siècle dernier.
Je vois pas en quoi se vétir est une nécéssité absolue, les animaux vivent couvert de leurs poils ou leurs écailles.
Des poils j'en ai, mais apparemment la société considère que c'est pas une couverture suffisante, alors j'ai préféré passer ma vie a acheter des fringues, que de m'arranger pour que mes poils poussent plus nombreux et plus fournis.
L'avantage des habits, c'est que ça varie, et ça peut être beau parfois.
Moi et l'habillage, ça a toujours tout fait, ou rien.
Ma tête regorge d'idées en tout genre,de tenue variées colorée, allant du sari indien aux robes du moyen age.
Tout cela ressort plus du déguisement qu'autre chose. Alors comme j'ai pas tout les jours envie d'être dévisagée et classée comme une folle dévergondée, je m'habille quotidiennement un peu plus correctement, un peu plus fade, un peu moins fantaisiste.
Avec l'age, ça vire de plus en plus au déguisement.
Mais petite, j'adorais me déguiser. C'était une deuxieme vie. J'avais la chance fabuleuse d'avoir une mère et une grand mère qui savaient coudre et s'en donnaient a coeur joie de me confectionner des robes.
Je récupérais sans vergogne plein de leurs vieux habits.
J'étais milles et une personne a la fois. Un bout de tissu et un maillot de bain suffisait a me transformer en femme-papillon.
Et je m'étonne encore aujourd'hui de flasher sur une robe a caractère du début du siècle dernier.